Vieillir en périphérie québécoise : et si l’inclusion des aînés et des nouveaux arrivants passait par la mise en valeur du patrimoine vivant? Exploration à partir du cas de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine 

Pierre-Luc Lupien, Michel Landry

« Quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle », proverbe popularisé par Amadou Hampâthé Bâ, ethnologue malien 

Au Québec, les régions périphériques tendent à être l’objet de nombreux préjugés. Le terme en lui-même de périphérie les qualifie d’une façon négatives par rapport aux régions dites centrales. L’accent que la notion met sur les indices économiques et démographiques amène aussi à adopter une définition lacunairei des territoires « périphériques » en tant qu’espaces dévitalisés et en tant qu’espaces vieillissants. Les deux constats se mêlent parfois dans une forme d’âgisme ordinaire qui explique la dévitalisation par le vieillissement de la population et vice et versa. Nous sommes loin de la conception des sociétés d’Afrique occidentale des personnes aînées qui les considèrent comme une richesse pour la communauté, richesse qui va au-delà des seuls critères économiques occidentaux.ii  

Dans ce portrait, nous osons, bien humblement, porter un autre regard pour faire état du Québec rural. Ce regard est réalisé depuis la perspective de chercheurs vivant dans la région de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, plus spécifiquement dans la région de la Baie-des-Chaleurs, au sud de la péninsule. Au lieu de se concentrer sur les indices économiques et démographiques, cet article portera prioritairement sur les dimensions dites culturelles, particulièrement celles en lien avec le patrimoine vivant et les savoirs locaux, thème de la cinquième édition de cet état du Canada rural. En présentant un cas concret de pratique de préservation du patrimoine vivant, soit la pêche aux coques en Gaspésie et aux îles, l’intention est d’exemplifier dans ce portrait la variété et la richesse des savoirs locaux dont recèlent des régions qui restent trop souvent réduites à la valeur économique de leurs seules ressources naturelles.  

Redéfinition québécoise de la ruralité : De la société traditionnelle à la néo-ruralité 

La ruralité a un « caractère emblématique pour le Québec ».iii Depuis les premières monographies de village aux études plus récentes sur la néo-ruralité, les transformations contemporaines de la campagne québécoise continuent de susciter des nombreux débats sur la définition même de la ruralité et, par là aussi, de la définition de la société québécoise dans son ensemble. 

En revenant aux premières études sociologiques sur les milieux ruraux québécois, l’accent est mis sur l’uniformité de la vie des cultivateurs et de la faible différenciation sociale entre les ruraux. Avec la Révolution tranquille, au début des années 1960, un changement important porte sur la signification de la ruralité qui était jusque-là un mode de vie « idéal » devient un signe de retard, voire d’arriération. L’ère est à la modernisation, au « rattrapage du retard du Québec », et à la valorisation du mode de vie promu par l’American way of life. Les Québécois des campagnes n’y échappent pas et adoptent aussi le mode de vie de consommation que l’on retrouve dans les villes et leurs banlieues. L’exode de la jeunesse vers les centres urbains tend à être perçu comme un des problèmes majeurs. L’enjeu de la « démographie » s’impose alors chez les acteurs des milieux ruraux. Ce problème n’est pas sans lien avec la question de la transmission des savoirs locaux, de la culture régionale, du patrimoine vivant, et plus largement de la « reproduction » même des milieux ruraux périphériques. Les jeunes baby-boomers ruraux sont nombreux à critiquer, voir à rejeter, le mode de vie de leurs parents fondés sur l’autoproduction. La société de l’autoproduction et ses savoirs locaux cède le pas à la société de consommation et à ses savoirs experts.  

Cette interprétation en termes de disparition des différences entre espaces urbain et rural ne fait toutefois pas l’unanimité. À titre d’exemple, l’anthropologue Marcel Rioux défend plutôt que les milieux périphériques comme la Gaspésie sont des territoires où la culture populaire a été mieux préservée de la culture de masse et de consommation.iv L’effacement des différences est aussi critiqué comme une lecture qui serait davantage un souhait qu’un constat. Elle est associée à ceux qui sont appelés les « modernistes », ces « révolutionnaires tranquilles », hautement scolarisés, qui souhaitent que le Québec rattrape son retard et enterre l’héritage traditionaliste considéré comme un folklore encombrant.  

Plus récemment, la thématique de la « néo-ruralité » a occupé une part importante des travaux sur la campagne québécoise, incluant les territoires périphériques. L’accent est mis sur les conflits d’usage entre les néo et les anciens résidents. « Le passage de l’agriculteur comme type majoritaire à un type minoritaire renforce l’opposition classique rural-urbain, même si l’importance numérique relative des groupes est inversée, et transforme profondément les relations sociales en milieu rural ».3 Les nouveaux arrivants sont aussi analysés comme de possibles agents d’embourgeoisement,v comme des « menaces potentielles au patrimoine vivant », à l’instar de ce qui se passe dans les anciens quartiers ouvriers des villes. Les représentations dont sont l’objet ces néo-ruraux n’est pas nécessairement négatives, au contraire. Ils représentent même un espoir pour l’avenir des petites communautés rurales. Les néo-ruraux sont souvent d’emblée des « jeunes » dans des milieux où la population est plus âgée. L’intégration et les rapports entre ces deux « populations » amènent à s’interroger à nouveau sur ce qu’est la ruralité et sa « culture ».  

Aujourd’hui, sans avoir de définition consensuelle de la ruralité, des définitions opératoires sont utilisées à des fins de gestions administratives des territoires. La définition strictement démographique de Statistiques Canada s’impose de fait sans être discutée. Ainsi, est rural, ce qui est éloigné des villes, lire ce qui est éloigné des services attendus pour un citoyen dit urbain. En ce sens, la ruralité périphérique est une « forme extrême de ruralité ». Ces milieux tendent à être définis par leurs lacunes et leurs défis. Plusieurs tares et problèmes les caractérisent. La ténacité de ces représentations de la ruralité semble toujours tenir de l’apparente évidence des définitions habituelles de la ruralité.  

Vieillissement démographique, ruralité périphérique et patrimoine vivant 

Les débats autour de la définition de la ruralité occultent ceux sur les ruralités. Produire un état de la ruralité québécoise oblige à concevoir plusieurs ruralités. À ce titre, des auteursvi propose une typologie qui comprennent trois types de ruralités : 1) une ruralité à proximité des villes, sujettes à la périurbanisation de son territoire; 2) une ruralité intermédiaire, marquée par la production agricole extensive et la présence de villes-moyennes; 3) la ruralité périphérique, qui serait surtout définie par son activité dans le domaine des ressources naturelles. Il apparaît que même en se concentrant sur la ruralité périphérique, le portrait de celle-ci reste diversifié et remet ainsi en cause la centralité accordée aux ressources naturelles. 

La singularité des régions périphériques s’observe tout d’abord sur le plan des indices économiques et démographiques. En procédant à la comparaison de ces régions entre elles, il s’en dégage que le vieillissement démographique, souvent associé à la ruralité et à sa forme « extrême », la ruralité périphérique, ne va pas nécessairement de soi. Ainsi, la région de la Côte-Nord présente un portrait démographique qui s’apparente à celui de Montréal avec 21,1 % de personnes âgées de plus de 65 ans alors que la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine affichent la plus forte proportion de personnes âgées au Québec, avec 29,4 %.vii Plusieurs explications peuvent être avancées à propos de cette différence. Il apparaît notamment que la région nord-côtière comprend les populations des Premières nations qui affichent un taux de natalité plus marqué que les populations allochtones. En revanche, la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine sont marquées par un vieillissement par le bas, soit par la diminution du nombre de jeunes, qui trouve une lointaine origine au moment de la Révolution tranquille, lorsque la jeunesse du baby-boom se dirige en ville pour accéder notamment à l’enseignement supérieur.viii L’attention sur cette donnée démographique donne un aperçu de la singularité des réalités des « régions périphériques québécoises ».  

En ce qui a trait au lien entre cette donnée démographique et la question du patrimoine vivant dans la région de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, le phénomène du vieillissement tend à avoir des impacts relativement variables entre les différentes communautés ethnoculturelles comprises. D’ailleurs, cette « multiethnicité gaspésienne »ix est davantage reconnue par les membres des cohortes plus jeunes, mais elle est évoquée depuis longtemps. En sciences humaines et sociales, des auteurs comme Rioux attestaient déjà que la Péninsule était « l’une des régions les plus cosmopolites du Québec ».x 

Dans ce contexte multiculturel, le vieillissement peut ainsi se comprendre à l’échelle des groupes populationnels et ethnoculturels. Des groupes subsistent, certains déclinent alors que d’autres connaissent un regain de population. Significative sur le terrain, cette évaluation se base sur des analyses de données imparfaites en raison de la difficulté à repérer ces ensembles culturels dans la présentation des statistiques officielles. En matière de patrimoine vivant, certains groupes apparaissent plus menacés que d’autres. Le patrimoine vivant de la population francophone, majoritairement d’origine acadienne, peut paraître bien protégé, mais il compte sur l’implication volontaire de membres de la communauté, dont une forte proportion avance en âge. Même si la plus grande proportion de la population de la région possède un patronyme acadien, la conscience de sa filiation ne serait pas acquise. De leur côté, les origines britanniques sont multiples. Les subtilités de ces diverses origines seraient souvent occultées. Le fait « anglophone » est ici un fait minoritaire alors qu’il représentait la parité de la population à la moitié du dernier siècle. Leur patrimoine serait ainsi davantage en péril. Enfin, la réalité des communautés autochtones voisines, celle des Mi’gmaques, questionne le patrimoine de la colonisation européenne, qu’elle soit d’ascendance acadienne ou britannique. Les aménagements territoriaux hérités de la colonisation et de ses injustices sont ainsi critiqués. Sur le plan démographique, les Mi’gmaques affichent un accroissement naturel de leur population et une forte proportion de jeunes qui contrastent avec le vieillissement démographique des populations allochtones. La question du patrimoine vivant s’exprime dans différents domaines et apparait un enjeu urgent et important. Se pose la question de génocide culturel, des écoles résidentielles et du processus de réconciliation. La situation linguistique est un enjeu crucial de point de vue des communautés et les aînés en sont des acteurs centraux en termes de transmission.  

En adoptant l’angle du vieillissement démographique, le phénomène, une réalité davantage allochtone, peut représenter aussi bien une « menace » qu’une « opportunité » pour la préservation du patrimoine vivant. Dans la liste des menaces potentielles au patrimoine vivant de l’UNESCO, le vieillissement de la population se manifeste à travers différents facteurs menaçants. Sur le plan des phénomènes démographiques, l’exode rural des jeunes peut aussi être à l’origine d’un affaiblissement des pratiques de transmission. L’intérêt pour ce patrimoine peut aussi diminuer au sein de la jeunesse. Une forte proportion de patriciens âgés peut aussi mettre en péril le patrimoine immatériel. Cela dit, il apparaît que le patrimoine vivant tend toutefois à être conservé et porté par les aînés de la communauté. Ils sont pour ainsi des « archives vivantes », des « bibliothèques » du patrimoine vivant d’un territoire donné pour reprendre le proverbe malien en exergue.  

Il y a ici un enjeu crucial d’inclusion entre les générations. Pour que le patrimoine vivant puisse se transmettre, il faut favoriser les relations intergénérationnelles. En ce sens, l’intervention en patrimoine vivant peut être aussi considérée un moyen d’accroître l’inclusivité des milieux. À partir des rares études sur cette question, la forte proportion de personnes aînées en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine serait aussi à l’origine d’une attitude différente par rapport à l’âge. Elle serait plus positive à l’endroit des « personnes aînées ». La forte proportion d’aînés dans un milieu d’interconnaissance ferait en sorte que les activités seraient moins clivées en fonction de l’âge.xi Le vieillissement de la population pourrait donc s’avérer aussi un facteur de sauvegarde du patrimoine dans la mesure où il facilite les relations intergénérationnelles. 

Le cas du Centre de recherche en patrimoine vivant de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine: « de la batture d’ici aux rives du monde »  

La Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine est une région considérée comme un « réservoir » du patrimoine vivant, une terre prisée par les ethnologues. Elle reste toutefois une région moins investie par les chercheurs universitaires. La documentation de pratiques traditionnelles et les connaissances locales demeurent souvent le fruit d’initiatives ponctuelles, soumises aux aléas des intérêts de quelques individus ou organismes. Bien que le réseau des Universités du Québec accomplît un travail important, la présence limitée des universités sur l’ensemble du territoire fait en sorte que les Cégeps, institutions spécifiquement québécoises d’enseignement supérieur,xii mitoyennes entre le « high school » et l’université, peuvent apporter un soutien significatif et pérenne à la préservation du patrimoine culturel.  

Dans le cas qui nous intéresse, le Cégep de la Gaspésie et des Îles fait figure rare d’institution d’enseignement supérieur sur le territoire et se présente comme un acteur capable, par ses ressources humaines et techniques, de soutenir de manière pérenne des projets de recherche et de mise en valeur de porteurs de mémoire. En 2019, la création d’un Laboratoire de recherche en patrimoine au Cégep de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, qui deviendra le Centre de recherche en patrimoine vivant (CERPAV),xiii vise à initier des étudiants au patrimoine régional. Le centre a débuté ses activités dans le sud de la Gaspésie, la « Baie-des-Chaleurs ». Un de ses premiers projets, en collaboration avec le Centre de recherche en pratiques sociales novatrices CCTT (CIRADD) et l’Écomusée Tracadièche (société d’histoire), concerne une pratique traditionnelle gaspésienne : la pêche aux coques. Il s’agit d’une pratique de cueillette d’un coquillage, appelée aussi mye commune. Les résultats de ce projet, mettant à contribution les étudiant-es, font ressortir, conformément à ce que nous venons de présenter, que ce sont principalement les aînés qui jouent un rôle primordial dans la transmission.  

En plein développement, le centre a le potentiel de se déployer au sein de l’ensemble des quatre campus collégiaux répartis sur le territoire (Carleton-sur-Mer, Gaspé, Grande-Rivière et les Îles-de-la-Madeleine). Par les affiliations internationales du Cégep, le Centre a aussi accès aux ressources du réseau Unevoc-UNESCO et de son bureau international de Dakar (Sénégal). Ce bureau a établi de nombreux partenariats partout en Afrique de l’Ouest via ses projets internationaux, majoritairement dans le secteur des pêcheries et de l’aquaculture.  Ces liens permettent aujourd’hui au CERPAV de travailler à un projet de dialogue international entre des porteurs de tradition de la Gaspésie et des ceux de la Casamance au Sénégal, et ce, autour d’une même pratique traditionnelle : la pêche aux coquillages. Pour une région considérée périphérique, l’intérêt pour les connaissances locales, pour le patrimoine vivant régional, ouvre la porte à des collaborations dans une optique d’inclusivité sociale. Il faut préciser ici que les collaborations de recherche en Afrique de l’Ouest se font dans le contexte où la région accueille un important contingent de professionnels de la santé originaires de cette région du monde.xiv Les ponts créés en patrimoine vivant, des deux côtés de l’Atlantique, devraient favoriser l’inclusivité dans le milieu d’accueil gaspésien et madelinot.  

Des « ressources naturelles » au « patrimoine culturel »  

Les perspectives de la valorisation du patrimoine vivant pour favoriser l’inclusivité dans les milieux ruraux périphériques s’avèrent aussi riches que multiples. L’exemple des initiatives récentes en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine donne une idée de cette diversité. Le vocable de « ruralité périphérique » réussit difficilement à tenir en compte la complexité et la singularité des régions classées sous ce même vocable. Les ressources consacrées à l’étude des dimensions culturelles et historiques de ces régions du Québec demeurent limitées. Les régions périphériques restent ainsi des espaces définis principalement par leurs « ressources naturelles », sans se douter de la richesse de leurs « ressources culturelles ». La faible couverture médiatique de ces régions dans l’espace national contribue aussi à entretenir cette méconnaissance des richesses de leur patrimoine vivant. Ce contexte rend plus que jamais nécessaire la création d’une entité de recherche agissant comme observatoire des régions du Québec sous l’angle culturel et historique. Une telle entité serait à même de pérenniser les efforts pour préserver le patrimoine vivant au-delà des initiatives sporadiques et discontinues. Une initiative semblable avait été lancée avec l’Institut québécois de recherche sur la culture à la fin des années 1970. Une meilleure connaissance des spécificités culturelles des communautés, des territoires et des régions dites « périphériques » semble aussi une bonne manière de les rendre plus inclusifs et attrayants, comme nous l’avons démontré dans le cas présenté. Les défis du futur sont justement de créer les conditions pour faciliter la création d’un portrait complet de la diversité régionale des régions périphériques.  

References

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